••• Une nouvelle qui peut se résumer par le célèbre aphorisme de Paul Valéry : « L’homme sait assez souvent ce qu’il fait, il ne sait jamais ce que fait ce qu’il a fait. ».
S’y ajoute un contexte assez inédit ; un juriste planche sur comment indemniser de façon efficace des proches, en cas de décès d’un des leurs. Une perte ici, occasionnée par l’administration étasunienne.
Si je vous laisse imaginer la nature du proche décédé, je vous rappelle cependant qu’il s’agit d’une nouvelle de science-fiction. Parue dans la quatre-vingt-onzième livraison de la revue BIFROST. Un numéro spécial « fictions », duquel j'avais déjà donné un bref aperçu, en jugeant la nouvelle de Jean Baret [Pour en savoir +] très prometteuse.
Celle d'Olivier Caruso, plus perverse, est plus aboutie.
S’y ajoute un contexte assez inédit ; un juriste planche sur comment indemniser de façon efficace des proches, en cas de décès d’un des leurs. Une perte ici, occasionnée par l’administration étasunienne.
Si je vous laisse imaginer la nature du proche décédé, je vous rappelle cependant qu’il s’agit d’une nouvelle de science-fiction. Parue dans la quatre-vingt-onzième livraison de la revue BIFROST. Un numéro spécial « fictions », duquel j'avais déjà donné un bref aperçu, en jugeant la nouvelle de Jean Baret [Pour en savoir +] très prometteuse.
Celle d'Olivier Caruso, plus perverse, est plus aboutie.
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