« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations ...
Je ne connais cette série que de nom.
RépondreSupprimerMerci Arty.
Ça commence comme une bonne série, et à partir de la troisième saison ça devient une série extraordinaire.
RépondreSupprimerSi tu en as l'occasion tente l'expérience : http://artemusdada.blogspot.com/2009/12/freelingtasticamundo.html
Salut
RépondreSupprimerC’est une série australienne, de 4 saisons avec un téléfilm en deux parties.
Un humour qui est un peu décalée surtout avec Scorpion qui est un personnage assez extraordinaire (donc le comédien reprendra le rôle de Peter Cushing pour la fin de Star Wars III).
Le début de la série ressemble un peu a la série américain Bug Roger (qui est tiré un comics).
Amicalement Broussaille 307