Diamond Dogs, ou le stupéfiant périple d'une expédition aux confins d'une planète morte abritant la Flèche. Turquoise Days, ou la rencontre des Mystifs, le plus fascinant des organismes marins de la planète Turquoise. Diamond Dogs, Turquoise Days réunis deux récits magistraux d'Alastair Reynolds, et qui s'inscrivent dans son cycle romanesque des Inhibiteurs.
C'est comme d'arriver dans un nouvel endroit - ce qui est d'ailleurs le cas sur le plan de l'imaginaire - qu'on aime immédiatement, sans trop savoir pourquoi.
Un coup de foudre sûrement.
Un nouvel endroit donc, qui (jeu de mots peu subtil) vous met immédiatement à l'envers et vous pousse à y entrer le plus rapidement possible. À la fois pressé et anxieux.
Alastair Reynolds parvient ici à inventer un tout nouveau quadrant de l'imaginaire, c'est en tout cas comme ça que je l'ai vécu.
Nouveau certes, tout en ne l'étant pas radicalement ; pour rendre curieux sans rebuter. Pas si facile que ça en a l'air.
La première novella - forme littéraire entre la nouvelle et le roman, pour le dire vite - est une très belle entrée en la matière ; très gothique.
Un gothique hard-Sf plus précisément, dont la chute, en deux temps est saisissante.
Le second récit, un peu plus court, est totalement différent. Ce qui laisse augurer d'un imaginaire riche et suffisamment coloré (et c'est peu de le dire) du côté de l'auteur. Mais se révèlera encore plus réussi que le premier.
Et pourtant celle-ci est déjà l'une des meilleurs novellas que j'aie jamais lues.
Cerise sur le gâteau si je puis dire, elle se permet en deux lignes d'apporter une nouvelle perspective sur ce qui se déroule dans la première nouvelle et par la même occasion dessine un univers littéraire étendu, de façon très élégante.
Je ne vous cache pas que je n'ai pas attendu d'avoir terminer ce recueil de 250 pages, traduit pas Sylvie Dennis (qui propose aussi une préface intéressante) - gage de qualité -, pour commander immédiatement le premier roman du cycle auquel ce recueil se rattache, celui dit des Inhibiteurs.
Qui semble si j'en crois Diamon Dogs, Turquoise Days (très belle couverture d'Alain Brion), se présenter sous les meilleurs auspices : ceux du space opera d'aventure mâtiné de hard-Sf.
Un cocktail un peu fort, je ne vous le cache pas. [-_ô]
Un coup de foudre sûrement.
Un nouvel endroit donc, qui (jeu de mots peu subtil) vous met immédiatement à l'envers et vous pousse à y entrer le plus rapidement possible. À la fois pressé et anxieux.
Alastair Reynolds parvient ici à inventer un tout nouveau quadrant de l'imaginaire, c'est en tout cas comme ça que je l'ai vécu.
Nouveau certes, tout en ne l'étant pas radicalement ; pour rendre curieux sans rebuter. Pas si facile que ça en a l'air.
La première novella - forme littéraire entre la nouvelle et le roman, pour le dire vite - est une très belle entrée en la matière ; très gothique.
Un gothique hard-Sf plus précisément, dont la chute, en deux temps est saisissante.
Le second récit, un peu plus court, est totalement différent. Ce qui laisse augurer d'un imaginaire riche et suffisamment coloré (et c'est peu de le dire) du côté de l'auteur. Mais se révèlera encore plus réussi que le premier.
Et pourtant celle-ci est déjà l'une des meilleurs novellas que j'aie jamais lues.
Cerise sur le gâteau si je puis dire, elle se permet en deux lignes d'apporter une nouvelle perspective sur ce qui se déroule dans la première nouvelle et par la même occasion dessine un univers littéraire étendu, de façon très élégante.
Je ne vous cache pas que je n'ai pas attendu d'avoir terminer ce recueil de 250 pages, traduit pas Sylvie Dennis (qui propose aussi une préface intéressante) - gage de qualité -, pour commander immédiatement le premier roman du cycle auquel ce recueil se rattache, celui dit des Inhibiteurs.
Qui semble si j'en crois Diamon Dogs, Turquoise Days (très belle couverture d'Alain Brion), se présenter sous les meilleurs auspices : ceux du space opera d'aventure mâtiné de hard-Sf.
Un cocktail un peu fort, je ne vous le cache pas. [-_ô]
(À suivre ...)
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