Court récit initiatique à la sauce Campbell/Vogler mais joliment corrompu par Léo Henry ; La Panse, sur fond de secte/société secrète, de réification de métaphores de l’ère de l’enrichissement et d’hantologie, fait vivre à son « héros » Bastien Regnault une sorte d’anamnèse made in France.
Prenant le quartier de La Défense ( au nom programmatique) comme lieu principal de son histoire il réussi le pari de donner à son roman le même pourvoir d’assuétude que celui auquel seront confrontés certains de ses personnages, ainsi qu’un rythme de lecture tout aussi rapide que les chapitres sont courts.
Lu avidement, ce roman inédit de 300 pages, paru directement en poche (folio SF) au prix de 8,20 € n’en laisse pas moins un doux sentiment persistant de malaise et d’angoisse.
Comme de se réveiller après une méchante gueule de bois dans un lieu qu'on ne reconnait pas.
Une belle réussite !
Prenant le quartier de La Défense ( au nom programmatique) comme lieu principal de son histoire il réussi le pari de donner à son roman le même pourvoir d’assuétude que celui auquel seront confrontés certains de ses personnages, ainsi qu’un rythme de lecture tout aussi rapide que les chapitres sont courts.
Lu avidement, ce roman inédit de 300 pages, paru directement en poche (folio SF) au prix de 8,20 € n’en laisse pas moins un doux sentiment persistant de malaise et d’angoisse.
Comme de se réveiller après une méchante gueule de bois dans un lieu qu'on ne reconnait pas.
Une belle réussite !
Intéressant, ça ; je ne connaissais pas du tout cet auteur mais j'ai l'impression que le roman et les thèmes évoqués ont tout pour me parler. Merci du tuyau !!
RépondreSupprimerAvec plaisir, Léo Henry est un auteur très original.
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