.... Quatre numéros et puis s'en va.
Après avoir purgé une peine de 3 ans, Eileen Cassaday sort de prison, et elle est bien décidée à récupérer sa part du braquage à cause duquel elle est allée moisir à Angelika (Nevada).
Si cette histoire montre le savoir-faire de Greg Rucka, à l'origine ce devait être une série à suivre (ongoing), Felon m'a quand même laissé une impression assez mitigée.
Le savoir-faire en question s'exprime dans la mesure où le scénariste, donne une fin (certes très ouverte) mais loin d'être décevante, et surtout assez inattendue (et dans des délais très courts). Mais également un poil en contradiction avec les 3 précédents numéros.
Néanmoins la brutalité (dans tout les sens du terme) de cette conclusion, renforcée par un dernier numéro en noir & blanc (peut-être pour en amortir le coût ?), est par trop artificielle.
Une fin qui m'a donc laissé sur ma faim (sic), et un sentiment aussi ambiguë que le scénario et son héroïne.
Je crois d'ailleurs que c'était l'ambition du label Minotaur Press - sous lequel a paru Felon (en 2001) - une branche de l'éditeur Top Cow qui voulait proposer des histoires « plus noires et plus nuancées » que le reste de son catalogue ; comme Obergeist de Dan Jolley & Tony Harris (traduit en France chez l'éditeur Bulle Dog).
.... Or donc Felon est une histoire pour le amateurs de polars noirs (mais alors vraiment très noirs), pour les aficionados de Greg Rucka, et pour ceux qui aiment lire des histoires qui laissent la première place aux « pétroleuses » qu'affectionne l'auteur de Portland (Oregon).
Voire pour ceux qui aiment décortiquer les techniques à l'oeuvre dans ..... l'oeuvre. [-_ô]
Finalement ça risque de faire pas mal de monde.
Après avoir purgé une peine de 3 ans, Eileen Cassaday sort de prison, et elle est bien décidée à récupérer sa part du braquage à cause duquel elle est allée moisir à Angelika (Nevada).
Si cette histoire montre le savoir-faire de Greg Rucka, à l'origine ce devait être une série à suivre (ongoing), Felon m'a quand même laissé une impression assez mitigée.
Le savoir-faire en question s'exprime dans la mesure où le scénariste, donne une fin (certes très ouverte) mais loin d'être décevante, et surtout assez inattendue (et dans des délais très courts). Mais également un poil en contradiction avec les 3 précédents numéros.
Néanmoins la brutalité (dans tout les sens du terme) de cette conclusion, renforcée par un dernier numéro en noir & blanc (peut-être pour en amortir le coût ?), est par trop artificielle.
Une fin qui m'a donc laissé sur ma faim (sic), et un sentiment aussi ambiguë que le scénario et son héroïne.
Je crois d'ailleurs que c'était l'ambition du label Minotaur Press - sous lequel a paru Felon (en 2001) - une branche de l'éditeur Top Cow qui voulait proposer des histoires « plus noires et plus nuancées » que le reste de son catalogue ; comme Obergeist de Dan Jolley & Tony Harris (traduit en France chez l'éditeur Bulle Dog).
.... Or donc Felon est une histoire pour le amateurs de polars noirs (mais alors vraiment très noirs), pour les aficionados de Greg Rucka, et pour ceux qui aiment lire des histoires qui laissent la première place aux « pétroleuses » qu'affectionne l'auteur de Portland (Oregon).
Voire pour ceux qui aiment décortiquer les techniques à l'oeuvre dans ..... l'oeuvre. [-_ô]
Finalement ça risque de faire pas mal de monde.
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