…. Pour le dire aussi rapidement que ce roman est court, Cookie Monster, est le rêve du capitalisme le plus désinhibé dans une version « hard science », dont la (possible) difficulté de comprendre entièrement ce dont on parle est largement compensée par une forme de poésie et pas mal d’humour.
L’auteur – Vernon Vinge – a ainsi la bonne idée de rattacher son propre récit à (au moins) deux autres histoires que tout un chacun connaît, ne serait-ce que par « osmose », ce qui permet une lecture intuitive lorsque la maîtrise de certains concepts fait défaut.
Il a aussi la très mauvaise idée d’inclure dans les dialogues de certains de ses protagonistes - en passant - des échanges sur des romans de S-F, dont il risque de gâcher (un peu) la lecture.
La brièveté de cette novella (ou roman court), moins de 100 pages dans un format poche (prix Hugo & Locus de sa catégorie en 2004), m’interdit de développer plus avant mon commentaire©™. Ce que je peux dire en revanche c’est que je l’ai lu d’une traite et que je n’ai pas eu à me forcer, bien au contraire.
En outre, le rapport qualité/prix est très en faveur du lecteur : 8,90€ (et 3,99 € en format numérique) comme toute la collection Une Heure Lumière des éditions Le Bélial’.
À quoi s’ajoute une traduction signée Jean-Daniel Brèque, quelqu’un que l’on peut placer dans le peloton de tête des traducteurs encore en exercice, si tant est qu’il prenait à cette profession de faire de la compétition.
Sans oublier une fort réussie couverture d’Aurélien Police, un illustrateur dont le talent ne cesse de m’épater.
L’auteur – Vernon Vinge – a ainsi la bonne idée de rattacher son propre récit à (au moins) deux autres histoires que tout un chacun connaît, ne serait-ce que par « osmose », ce qui permet une lecture intuitive lorsque la maîtrise de certains concepts fait défaut.
Il a aussi la très mauvaise idée d’inclure dans les dialogues de certains de ses protagonistes - en passant - des échanges sur des romans de S-F, dont il risque de gâcher (un peu) la lecture.
La brièveté de cette novella (ou roman court), moins de 100 pages dans un format poche (prix Hugo & Locus de sa catégorie en 2004), m’interdit de développer plus avant mon commentaire©™. Ce que je peux dire en revanche c’est que je l’ai lu d’une traite et que je n’ai pas eu à me forcer, bien au contraire.
En outre, le rapport qualité/prix est très en faveur du lecteur : 8,90€ (et 3,99 € en format numérique) comme toute la collection Une Heure Lumière des éditions Le Bélial’.
À quoi s’ajoute une traduction signée Jean-Daniel Brèque, quelqu’un que l’on peut placer dans le peloton de tête des traducteurs encore en exercice, si tant est qu’il prenait à cette profession de faire de la compétition.
Sans oublier une fort réussie couverture d’Aurélien Police, un illustrateur dont le talent ne cesse de m’épater.
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