« Dans mon village, on mangeait des chats » est un récit dont la presque totalité des éléments appartient au tableau périodique des stéréotypes, et qui pourtant tire plus qu'honorablement son épingle du jeu.
Philippe Pelaez, qui ne m'avait guère convaincu avec son album consacré au comte Zaroff, y arrive ici avec une facilité (apparente) déconcertante.
Tout sonne juste.
Dont sa maîtrise de la voix off, laquelle nous immerge complétement dans la tête de son héros, Jacques Pujol.
Cette belle réussite est aussi imputable à Francis Porcel dont le storytelling et -surtout- la colorisation, apportent un supplément d'émotion dont l'absence se serait fortement fait sentir.
Cette belle réussite est aussi imputable à Francis Porcel dont le storytelling et -surtout- la colorisation, apportent un supplément d'émotion dont l'absence se serait fortement fait sentir.
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