Annoncée dès 2013, la mini-série, en cinq numéros mensuels, avec un contrat en creator-owned, autrement dit les auteurs y ont les coudées plus franches que si le projet appartenait entièrement à l'éditeur, est finalement sortie.
« Adler » ressortit à ce courant de la bande dessinée qui réunit différents personnages de la littérature, créés par des auteurs différents, et qu'on lance dans de nouvelles aventures. Le patient zéro de cette vague pourrait être La Ligue des Gentlemen Extraordinaires d'Alan Moore & Kevin O'Neill.
Ici, Lavie Tidhar, plus connu pour ses romans ou ses nouvelles de SfFF, dont j'aime assez la sensibilité, est accompagné du dessinateur Paul McCaffrey pour donner vie à une Ligue des Gentlewomen Extraordianires.
Numéro d'introduction et d'exposition, les 22 pages qui le constituent s'amusent avec l'ombre tutélaire de Sherlock Holmes ; évidemment absent.
Holmésien déclaré, le scénariste nous distrait (entre autres) avec un dialogue gentiment référentiel. Rien que de très ordinaire cela dit, puisque la Adler du titre est bien évidement Irène Adler.
Très agréable à lire et à regarder, Paul McCaffrey est très en forme, et j'aime beaucoup son travail (que je découvre pour l'occasion), ce premier numéro donne, comme il se doit, envie d'en savoir plus.
« Adler » ressortit à ce courant de la bande dessinée qui réunit différents personnages de la littérature, créés par des auteurs différents, et qu'on lance dans de nouvelles aventures. Le patient zéro de cette vague pourrait être La Ligue des Gentlemen Extraordinaires d'Alan Moore & Kevin O'Neill.
Ici, Lavie Tidhar, plus connu pour ses romans ou ses nouvelles de SfFF, dont j'aime assez la sensibilité, est accompagné du dessinateur Paul McCaffrey pour donner vie à une Ligue des Gentlewomen Extraordianires.
Numéro d'introduction et d'exposition, les 22 pages qui le constituent s'amusent avec l'ombre tutélaire de Sherlock Holmes ; évidemment absent.
Holmésien déclaré, le scénariste nous distrait (entre autres) avec un dialogue gentiment référentiel. Rien que de très ordinaire cela dit, puisque la Adler du titre est bien évidement Irène Adler.
Très agréable à lire et à regarder, Paul McCaffrey est très en forme, et j'aime beaucoup son travail (que je découvre pour l'occasion), ce premier numéro donne, comme il se doit, envie d'en savoir plus.
(À suivre ....)
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