« Je le regrette. Vieillir va me manquer »
Comme la couverture du vingt-huitième numéro de la revue le dit, Michael Marshall Smith y occupe la place de l'invité d'honneur.
Article en forme de curriculum détaillé, (courte) bibliographie française, entretient, et une nouvelle, probablement l'une des toutes meilleurs que j'aie jamais lue.
Bref, un excellent dossier sur l'un de mes auteurs favoris.
Que j'ai eu la chance de découvrir juste au moment où il était publié en France.
D'abord Avance rapide en 1998, puis presque en même temps Frères de chair, et ensuite La proie des rêves ; trois romans Sf qui m'auront marqué durablement.
Viendront ensuite quelques nouvelles dans Galaxies donc, Ténèbres, puis, plus tard l'imposant recueil L'Homme qui dessinait des chats.
Entre-temps Michael Marshall Smith publiera des thrillers tout aussi bons, la trilogie des Hommes de paille, sous le pseudonyme de Michael Marshall.
Et prochainement, en août 2020, est annoncé chez Bragelonne™, L'Anomalie, sous un nouveau nom de plume : Michael Rutger.
« Ce qui est arrivé n'était pas notre faute »
Je me suis même acheté The Gist, un projet très original, et assez confidentiel.
Il s'agit d'une nouvelle, écrite en anglais par Michael Marshall Smith, traduite en français par Benoît Domis, puis à partir de cette traduction, retraduite en anglais par Nicholas Royle.
La nouvelle s'intéresse bien sûr à un traducteur, à qui on confie un manuscrit rédigé dans une langue inconnue.
« Dix ans plus tard Rebecca était morte »
Si je devais très succinctement présenter Michael Marshall Smith, je dirais que c'est un auteur capable de s'emparer des clichés les plus rebattus et de leur donner une nouvelle jeunesse en les abordant d'un angle inédit.
En sachant toutefois que l'épouvante n'est jamais totalement absente de ses récits.
Bon ce n'est pas forcément vrai à 100%, mais en ce qui concerne « Voilà que l'Enfer dilate sa gorge », cette description sommaire coche toutes les cases.
« Et puis, un jour, l'un d'eux réapparu »
Une manière originale d'aborder les (mauvais) genres donc, mais aussi un style.
Michael Marshall Smith est de ceux qui soignent ce qu'ils ont à dire. Et il porte toujours une attention particulière à ses personnages. Avec raison car ils sont, évidement, les yeux avec lesquels le lecteur verra les choses. La conjugaison des genres est aussi l'une de ses forces.
Ici, le récit est autant une histoire de Sf que de Fantastique. Mais surtout une franche réussite.
L'éditeur Bragelonne™ commercialise cette nouvelle à l'unité sur son site, pour ceux que cela intéresse.
Pour ma part cela doit faire 3 ou quatre fois que je la lis, et elle garde toujours autant d'impact. Alors même que la surprise est bien evidemment éventée.
Une nouvelle lecture qui lui permet de s'ajouter à ma liste de nouvelles du challenge lecture de l'ami Yogo.
Comme la couverture du vingt-huitième numéro de la revue le dit, Michael Marshall Smith y occupe la place de l'invité d'honneur.
Article en forme de curriculum détaillé, (courte) bibliographie française, entretient, et une nouvelle, probablement l'une des toutes meilleurs que j'aie jamais lue.
Bref, un excellent dossier sur l'un de mes auteurs favoris.
Que j'ai eu la chance de découvrir juste au moment où il était publié en France.
D'abord Avance rapide en 1998, puis presque en même temps Frères de chair, et ensuite La proie des rêves ; trois romans Sf qui m'auront marqué durablement.
Viendront ensuite quelques nouvelles dans Galaxies donc, Ténèbres, puis, plus tard l'imposant recueil L'Homme qui dessinait des chats.
Entre-temps Michael Marshall Smith publiera des thrillers tout aussi bons, la trilogie des Hommes de paille, sous le pseudonyme de Michael Marshall.
Et prochainement, en août 2020, est annoncé chez Bragelonne™, L'Anomalie, sous un nouveau nom de plume : Michael Rutger.
« Ce qui est arrivé n'était pas notre faute »
Je me suis même acheté The Gist, un projet très original, et assez confidentiel.
Il s'agit d'une nouvelle, écrite en anglais par Michael Marshall Smith, traduite en français par Benoît Domis, puis à partir de cette traduction, retraduite en anglais par Nicholas Royle.
La nouvelle s'intéresse bien sûr à un traducteur, à qui on confie un manuscrit rédigé dans une langue inconnue.
« Dix ans plus tard Rebecca était morte »
Si je devais très succinctement présenter Michael Marshall Smith, je dirais que c'est un auteur capable de s'emparer des clichés les plus rebattus et de leur donner une nouvelle jeunesse en les abordant d'un angle inédit.
En sachant toutefois que l'épouvante n'est jamais totalement absente de ses récits.
Bon ce n'est pas forcément vrai à 100%, mais en ce qui concerne « Voilà que l'Enfer dilate sa gorge », cette description sommaire coche toutes les cases.
« Et puis, un jour, l'un d'eux réapparu »
Une manière originale d'aborder les (mauvais) genres donc, mais aussi un style.
Michael Marshall Smith est de ceux qui soignent ce qu'ils ont à dire. Et il porte toujours une attention particulière à ses personnages. Avec raison car ils sont, évidement, les yeux avec lesquels le lecteur verra les choses. La conjugaison des genres est aussi l'une de ses forces.
Ici, le récit est autant une histoire de Sf que de Fantastique. Mais surtout une franche réussite.
« Je suis inquiet de ce que nous pourrions faire avec n'importe quelle technologie »
Michael Marshall Smith
L'éditeur Bragelonne™ commercialise cette nouvelle à l'unité sur son site, pour ceux que cela intéresse.
Pour ma part cela doit faire 3 ou quatre fois que je la lis, et elle garde toujours autant d'impact. Alors même que la surprise est bien evidemment éventée.
Une nouvelle lecture qui lui permet de s'ajouter à ma liste de nouvelles du challenge lecture de l'ami Yogo.
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