Seconde novella du recueil Marshal Law Origins [Pour en savoir +] « Cloak of Evil » est une aventure en prose (et en anglais) de Marshal Law, le personnage de BD inventé par Pat Mills & le dessinateur Kevin O'Neill.
Pour résumer la substantifique moelle dudit personnage, Marshal Law c'est le Judge Dredd venu faire la loi dans les univers de Marvel Comics™ et DC Comics™. Et qui ferait montre d'une très nette antipathie envers les encapés.
« Cloak of Evil » se démarque toutefois des aventures précédentes, en s'inspirant d'un scandale politique datant des années 1960 (l'affaire Profumo), et mélangeant allégement les actioners de l'ère Reagan, Strange Days de Kathryn Bigelow, et l’appétence de Pat Mills pour l'occultisme made in Crowley.
Un gloubiboulga qui sur le papier peut paraître indigeste, mais que le talent et l'expérience de Pat Mills rend au contraire distrayant.
Cela dit les super-héros bien pervers comme la série nous a habitué à en voir n'ont pas totalement disparus, bien au contraire. Le scénariste peaufine également son personnage principal, en s'intéressant à la dualité entre Marshal Law et son alter ego.
Nul doute que si les amateurs de Marshal Law devraient trouver cette aventure toute aussi palpitante que celles dessinées par Kevin O'Neill (qui réalise pour l'occasion quelques illustrations), pas sûr que les nouveaux venus dans cet univers y trouve totalement leur compte.
Je leur conseillerais plutôt de se tourner vers l'excellent recueil des BD, commercialisé par l'éditeur hexagonal Urban Comics™.
En tout cas Marshal Law va faire sa loi du côté de chez le Maki, en rejoignant les challengers de son défi-lecture. BUDDABUDDABUDDABUDDA, arrrrrrgggh!
Pour résumer la substantifique moelle dudit personnage, Marshal Law c'est le Judge Dredd venu faire la loi dans les univers de Marvel Comics™ et DC Comics™. Et qui ferait montre d'une très nette antipathie envers les encapés.
« Cloak of Evil » se démarque toutefois des aventures précédentes, en s'inspirant d'un scandale politique datant des années 1960 (l'affaire Profumo), et mélangeant allégement les actioners de l'ère Reagan, Strange Days de Kathryn Bigelow, et l’appétence de Pat Mills pour l'occultisme made in Crowley.
Un gloubiboulga qui sur le papier peut paraître indigeste, mais que le talent et l'expérience de Pat Mills rend au contraire distrayant.
Cela dit les super-héros bien pervers comme la série nous a habitué à en voir n'ont pas totalement disparus, bien au contraire. Le scénariste peaufine également son personnage principal, en s'intéressant à la dualité entre Marshal Law et son alter ego.
Nul doute que si les amateurs de Marshal Law devraient trouver cette aventure toute aussi palpitante que celles dessinées par Kevin O'Neill (qui réalise pour l'occasion quelques illustrations), pas sûr que les nouveaux venus dans cet univers y trouve totalement leur compte.
Je leur conseillerais plutôt de se tourner vers l'excellent recueil des BD, commercialisé par l'éditeur hexagonal Urban Comics™.
En tout cas Marshal Law va faire sa loi du côté de chez le Maki, en rejoignant les challengers de son défi-lecture. BUDDABUDDABUDDABUDDA, arrrrrrgggh!
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