-Undercover (S01-E06)
Aussi incroyable que cela puisse paraître cette série britannique de 6 épisodes s'appuie sur des faits avérés.
Portée par l'excellente interprétation de son couple d'acteurs, Undercover choisit néanmoins d'insérer dans son intrigue principale la défense d'un condamné à mort outre-atlantien plutôt que de faire de la place à une enquête journalistique à domicile. Dommage.
La révélation finale et ce que laisse entendre les dernière images ne sont pas à la hauteur de tout ce qui a précédé. Dommage bis.
-Pure (S01-E01)
La télévision canadienne vient de lancer un show criminel, prévu lui aussi en 6 épisodes, qui s'installe dans une communauté mennonite.
Le premier épisode que j'ai vu est très très prometteur ; le simple fait de déplacer une histoire de cet ordre dans ce type de milieu lui donne un sacré attrait. En plus d'un exotisme certain.
-Incorporated (S01-E05)
Amours, passions, trahisons, Incorporated semble avoir définitivement fait le choix du « minimalisme », autrement dit raconter dans un décors de science-fiction une histoire qui pourrait tout aussi bien en faire l'économie.
Alors que la S-F est - pour le dire avec les mots de Valerio Evangelisti - un genre « maximaliste » qui incline à traiter de vastes sujets : peinture des mutations à large échelle, dévoilement de systèmes occultes de domination, dénonciation des effets tragiques ou bizarres de la technologie, invention de sociétés alternatives. Dommage.
-Taboo (S01-E01)
Dans un 19e siècle naissant, James Delaney de retour d'Afrique, vient jouer le grain de sable au cœur même d'un empire dont on disait que le soleil ne s'y couchait jamais.
Très sombre (sic), ce premier épisode par son laconisme et son ambiance a réussi à me captiver.
La "toile euristique", en passe de devenir un cliché (sic) à la télé [-_ô] |
Portée par l'excellente interprétation de son couple d'acteurs, Undercover choisit néanmoins d'insérer dans son intrigue principale la défense d'un condamné à mort outre-atlantien plutôt que de faire de la place à une enquête journalistique à domicile. Dommage.
La révélation finale et ce que laisse entendre les dernière images ne sont pas à la hauteur de tout ce qui a précédé. Dommage bis.
-Pure (S01-E01)
La télévision canadienne vient de lancer un show criminel, prévu lui aussi en 6 épisodes, qui s'installe dans une communauté mennonite.
Le premier épisode que j'ai vu est très très prometteur ; le simple fait de déplacer une histoire de cet ordre dans ce type de milieu lui donne un sacré attrait. En plus d'un exotisme certain.
-Incorporated (S01-E05)
Joshua Hale Fialkov, scénariste de BD s'essaie aux séries télévisées |
Alors que la S-F est - pour le dire avec les mots de Valerio Evangelisti - un genre « maximaliste » qui incline à traiter de vastes sujets : peinture des mutations à large échelle, dévoilement de systèmes occultes de domination, dénonciation des effets tragiques ou bizarres de la technologie, invention de sociétés alternatives. Dommage.
-Taboo (S01-E01)
Dans un 19e siècle naissant, James Delaney de retour d'Afrique, vient jouer le grain de sable au cœur même d'un empire dont on disait que le soleil ne s'y couchait jamais.
Très sombre (sic), ce premier épisode par son laconisme et son ambiance a réussi à me captiver.
(À suivre ....)
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