Dernier avatar en date de la culture transmédia dominante, « Altered carbon : Resleeved » est un anime japonais qui s'inscrit dans la chronologie des deux séries télévisées, elles-mêmes inspirées des romans de Richard K. Morgan.
« You flew the Gullfire over Leningrad, didn't you? »
Autrement dit un courant qui reprend les codes des films noirs, où un dur-à-cuire endosse la responsabilité de mener à bien la mission qu'on lui confiera. Le tout dans une ambiance à la Blade Runner, où la technologie invasive et numérique est reine. Souvent contrôlée par des zaibatsus.
Le deuxième amendement de la la Constitution des États-Unis y est bien évidemment de rigueur.
« J’vais lui faire une ordonnance et une sévère… . Aux quatre coins d'Latimer qu’on va l’retrouver éparpillé par petits bouts, façon puzzle. Moi, quand on m’en fait trop j’correctionne plus : j’dynamite, j’disperse, j’ventile. »
La simplicité du pitch et le didactisme de « Resleeved » permet néanmoins à tout le monde de suivre, quand bien même débarque-t-on pour la première fois danscet univers cette franchise.
Au final le contrat est rempli ; certes on n'a pas gagné de neurones supplémentaires, mais les amateurs de Cyberpunk testostéroné seront quittent.
Si « Altered carbon : Resleeved » manque de suspense, les 74 minutes de sa durée s’en arrangent, notamment par des choix esthétiques inspirés du « Cool Japan » qui donnent le change.
La violence graphique explicite ne plaira cependant pas à tout le monde.
Pour terminer, je précise que le Cyberpunk, en tant que courant, propose bien entendu des différences de degrés. « Resleeved » n'en adopte que les aspects les plus immédiatement reconnaissables.
Attentez-vous plus à un actioner, qu'à une variation de Blade Runner ou de Neuromancien.
Restez confinés !
« You flew the Gullfire over Leningrad, didn't you? »
Bob Hauk
Les romans de Morgan, les deux saisons télévisée et ce film d'animation (3 D), ressortissent à un courant de la Sf qu'on appelle le Cyberpunk. Autrement dit un courant qui reprend les codes des films noirs, où un dur-à-cuire endosse la responsabilité de mener à bien la mission qu'on lui confiera. Le tout dans une ambiance à la Blade Runner, où la technologie invasive et numérique est reine. Souvent contrôlée par des zaibatsus.
Le deuxième amendement de la la Constitution des États-Unis y est bien évidemment de rigueur.
« J’vais lui faire une ordonnance et une sévère… . Aux quatre coins d'Latimer qu’on va l’retrouver éparpillé par petits bouts, façon puzzle. Moi, quand on m’en fait trop j’correctionne plus : j’dynamite, j’disperse, j’ventile. »
Raoul V 3.0
Ceux qui connaissent le série TV, ne seront pas dépaysés. Altered Carbon© repose en effet sur une formule, que cet anime suit à la ligne de code près : Takeshi Kovacs est réenveloppé grâce aux bons soins d'un crapule, laquelle lui confie la mission de se débarrasser d'une autre crapule.La simplicité du pitch et le didactisme de « Resleeved » permet néanmoins à tout le monde de suivre, quand bien même débarque-t-on pour la première fois dans
Au final le contrat est rempli ; certes on n'a pas gagné de neurones supplémentaires, mais les amateurs de Cyberpunk testostéroné seront quittent.
Si « Altered carbon : Resleeved » manque de suspense, les 74 minutes de sa durée s’en arrangent, notamment par des choix esthétiques inspirés du « Cool Japan » qui donnent le change.
La violence graphique explicite ne plaira cependant pas à tout le monde.
Pour terminer, je précise que le Cyberpunk, en tant que courant, propose bien entendu des différences de degrés. « Resleeved » n'en adopte que les aspects les plus immédiatement reconnaissables.
Attentez-vous plus à un actioner, qu'à une variation de Blade Runner ou de Neuromancien.
Restez confinés !
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