« Un cartel de drogue rencontre un problème : ses « clients » décèdent. Mauvais pour les affaires.
Le big boss ordonne donc à son chimiste de tracer un chargement ; de la Colombie jusqu'aux U.S.A., en passant par le Mexique et le Canada, pour identifier celui qui s'en met plein les poches à ses dépends. »
« Running with the Devil » partage son affiche entre Nicolas « je voudrais être le Klaus Kinski californien » Cage, et Laurence « Morpheus » Fishburne.
Si ce dernier ne tourne visiblement pas autant que son compère, sa filmographie force le respect. Et dans ce film, Fishburne montre qu'il est avant tout un acteur, et qu'il n'a pas peur de se mettre en danger.
Le cas de Nicolas Cage est sensiblement différent.
Si on met de côté ses déboires personnels, on ne peut pas nier le « Nicholas Cage effect© ». Autrement dit, quel que soit son rôle, Nicolas Cage fait du Nicolas Cage. Et il tombe assez souvent juste.
Comme ici.
Placé sous le coup d'un « effet papillon », « Running with the Devil » évite l'ennui que sa forme pouvait laisser craindre grâce à des personnages pour le moins curieux, et des situations qui demandent certes de mettre entre parenthèse son incrédulité, mais qui font souvent mouche.
La distribution joue visiblement la même partition sous les ordres Jason Cabell, et l'ensemble, peut-être un peu insipide sur le papier, transcende ses petits défauts et livre un très bon divertissement.
Le big boss ordonne donc à son chimiste de tracer un chargement ; de la Colombie jusqu'aux U.S.A., en passant par le Mexique et le Canada, pour identifier celui qui s'en met plein les poches à ses dépends. »
« Running with the Devil » partage son affiche entre Nicolas « je voudrais être le Klaus Kinski californien » Cage, et Laurence « Morpheus » Fishburne.
Si ce dernier ne tourne visiblement pas autant que son compère, sa filmographie force le respect. Et dans ce film, Fishburne montre qu'il est avant tout un acteur, et qu'il n'a pas peur de se mettre en danger.
Si on met de côté ses déboires personnels, on ne peut pas nier le « Nicholas Cage effect© ». Autrement dit, quel que soit son rôle, Nicolas Cage fait du Nicolas Cage. Et il tombe assez souvent juste.
Comme ici.
« Je suis pas content seulement quand j’suis mécontent ! »
« Running with the Devil » à la linéarité d'une dramatis personæ, laquelle ne manque d'ailleurs pas d'ouvrir le bal de ce long-métrage foutraque mais bien sympathique. Et pour encore plus de clarté, le parcours que suit la cargaison de drogue est imagé sur une carte. « Running with the Devil » c'est le trafic de drogue vu par un expert-comptable. Un choix formel qui n'a rien de fortuit, puisque le trafic en question est caractérisé par ceux qui luttent contre, comme un véritable tonneau des Danaïdes.Placé sous le coup d'un « effet papillon », « Running with the Devil » évite l'ennui que sa forme pouvait laisser craindre grâce à des personnages pour le moins curieux, et des situations qui demandent certes de mettre entre parenthèse son incrédulité, mais qui font souvent mouche.
La distribution joue visiblement la même partition sous les ordres Jason Cabell, et l'ensemble, peut-être un peu insipide sur le papier, transcende ses petits défauts et livre un très bon divertissement.
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