Un petit mot sur la couverture de ce numéro de Fiction due à P.J. Izabelle, qualifiée par la rédaction de la revue de « Paysage Impossible », et qui proposait, en avril 1962, d'en calculer le nombre d'anomalies architecturales et autres. Une invite que je réitère volontiers.
Ceci étant dit, passons à la nouvelle de Léo Perutz, auteur que j'ai découvert en même temps que j'en lisais le texte que proposait le sommaire de la revue.
« Le colloque des chiens » tient d'ailleurs plus du conte Fantastique comme son entame nous invite à le penser : « Certain jour d'hiver de l'an 1609, certain jour de Sabbat, [..] », et en inclus l'arsenal diégétique. Ce qui nécessite le maximum de notre suspension volontaire d'incrédulité.
Ce court récit donc, en plus d'être particulièrement immersif, réussit la gageure d'être captivant de bout en bout.
Sans être original, ni surprenant !!! (Enfin, un peu surprenant quand même)
Ce que reconnaît par ailleurs la rédaction de Fiction, en le qualifiant d'« œuvre mineure,» mais qui « n'en a pas moins, comme on le verra, des mérites qui ne le sont pas ».
Des mérites qui pour le coup m'ont donné envie de lire quelque chose de plus consistant venant de Léo Perutz.
Et pourquoi pas Le maître du jugement dernier ?
Réédité il y a six ans chez ZULMA, et (surtout) recommandé par l'ami Patrick Marcel dans son indispensable Atlas des brumes et des ombres (en FOLIO Sf) !?
Bref une belle découverte, doublée d'une nouvelle perspective de lecture.
Pas mal pour un texte dit « mineur » !
« Le colloque des chiens » se tiendra, bien évidemment, pour la durée du challenge, du coté de chez Yogo.
Ceci étant dit, passons à la nouvelle de Léo Perutz, auteur que j'ai découvert en même temps que j'en lisais le texte que proposait le sommaire de la revue.
« Le colloque des chiens » tient d'ailleurs plus du conte Fantastique comme son entame nous invite à le penser : « Certain jour d'hiver de l'an 1609, certain jour de Sabbat, [..] », et en inclus l'arsenal diégétique. Ce qui nécessite le maximum de notre suspension volontaire d'incrédulité.
Ce court récit donc, en plus d'être particulièrement immersif, réussit la gageure d'être captivant de bout en bout.
Sans être original, ni surprenant !!! (Enfin, un peu surprenant quand même)
Ce que reconnaît par ailleurs la rédaction de Fiction, en le qualifiant d'« œuvre mineure,» mais qui « n'en a pas moins, comme on le verra, des mérites qui ne le sont pas ».
Des mérites qui pour le coup m'ont donné envie de lire quelque chose de plus consistant venant de Léo Perutz.
Et pourquoi pas Le maître du jugement dernier ?
Réédité il y a six ans chez ZULMA, et (surtout) recommandé par l'ami Patrick Marcel dans son indispensable Atlas des brumes et des ombres (en FOLIO Sf) !?
Bref une belle découverte, doublée d'une nouvelle perspective de lecture.
Pas mal pour un texte dit « mineur » !
« Le colloque des chiens » se tiendra, bien évidemment, pour la durée du challenge, du coté de chez Yogo.
De Perutz, je recommande vivement le Cavalier Suédois, histoire de pacte, de double, d'image renvoyée… très très bon.
RépondreSupprimerC'est noté, merci.
SupprimerBonjour. La nouvelle peut encore se lire dans le magazine Fictions? Ou alors chez Les lectures du Maki? Merci et bravo pour la participation au Challenge.
RépondreSupprimerOui, si tu arrives à te procurer le numéro en question de Fiction, la nouvelle est toujours au sommaire.
SupprimerMerci de ton passage et de ton commentaire.