Natif de Zagreb, le scénaristes Darko Macan s'est fait connaître du plus grand nombre en travaillant pour le marché de la BD étasunien. Depuis quelque temps il semble faire son trou en France, principalement chez l'éditeur Delcourt™. Lequel avait par ailleurs déjà commercialisé une partie de son travail effectué aux U.S.A.
Une ouverture hexagonale récente, doublée de la publication de certains de ses premiers travaux par les éditions INUKSHUK.
Il est, pour cette série, encore une fois associé à son compatriote Igor Kordey.
Un dessinateur qui a lui aussi travaillé pour les puissants éditeurs du « Pays de l'Oncle Sam ». Une expérience qu'il a pour le dire vite, trouvé peu concluante.
C'est finalement l'éditeur français de la rue d'Hauteville à Paris, qui s'est depuis attaché son talent. Et sa rapidité.
« Pandemonium Paragusa », premier tome de cette série qui visiblement s'installe sur les terres de la Fantasy, et aussi un très bon tome d'exposition.
En un peu plus d'une cinquantaine de pages les deux compères produisent un monde imaginaire prometteur, dans lequel les deux protagonistes éponymes de la série n'ont, visiblement, pas fini d'en baver.
Une Fantasy « Grand Siècle » qui se déroulerai, tout aussi étrangement, dans un pays imaginaire des Indes occidentales©.
Igor Kordey est un dessinateur qui n'a jamais eu peur d’exhiber des Quasimodos magnifiques en lieu est place des habituels gravures de mode héroïques.
Être laid, vieux ou gros, n'est jamais un obstacle pour faire partie du casting de ses séries. Sans relation de cause à effet, le sens moral des personnages y est souvent étique. Mais la bonne nouvelle, c'est que chez Macan & Kordey rien n'est écrit (sic). Quiconque peut tout aussi bien se racheter, que s'avilir encore davantage.
[TW] La nudité et la violence font souvent partie de leurs univers, qu'ils abordent de manière frontale, et sans complexe. Ni complaisance !
Il y a peu de chance en effet, que leurs histoires passent jamais les fourches caudines des sensitivity readers de tout poil.
Anubis à la couleur et Fanny Thuillier à la traduction parachèvent de faire de cette entrée en matière une étape inoubliable, qui pour le pire ou le meilleur, ne sera pas la dernière.
En ce qui me concerne en tout cas.
Une ouverture hexagonale récente, doublée de la publication de certains de ses premiers travaux par les éditions INUKSHUK.
Il est, pour cette série, encore une fois associé à son compatriote Igor Kordey.
Un dessinateur qui a lui aussi travaillé pour les puissants éditeurs du « Pays de l'Oncle Sam ». Une expérience qu'il a pour le dire vite, trouvé peu concluante.
C'est finalement l'éditeur français de la rue d'Hauteville à Paris, qui s'est depuis attaché son talent. Et sa rapidité.
« Pandemonium Paragusa », premier tome de cette série qui visiblement s'installe sur les terres de la Fantasy, et aussi un très bon tome d'exposition.
En un peu plus d'une cinquantaine de pages les deux compères produisent un monde imaginaire prometteur, dans lequel les deux protagonistes éponymes de la série n'ont, visiblement, pas fini d'en baver.
Une Fantasy « Grand Siècle » qui se déroulerai, tout aussi étrangement, dans un pays imaginaire des Indes occidentales©.
Igor Kordey est un dessinateur qui n'a jamais eu peur d’exhiber des Quasimodos magnifiques en lieu est place des habituels gravures de mode héroïques.
Être laid, vieux ou gros, n'est jamais un obstacle pour faire partie du casting de ses séries. Sans relation de cause à effet, le sens moral des personnages y est souvent étique. Mais la bonne nouvelle, c'est que chez Macan & Kordey rien n'est écrit (sic). Quiconque peut tout aussi bien se racheter, que s'avilir encore davantage.
[TW] La nudité et la violence font souvent partie de leurs univers, qu'ils abordent de manière frontale, et sans complexe. Ni complaisance !
Il y a peu de chance en effet, que leurs histoires passent jamais les fourches caudines des sensitivity readers de tout poil.
Anubis à la couleur et Fanny Thuillier à la traduction parachèvent de faire de cette entrée en matière une étape inoubliable, qui pour le pire ou le meilleur, ne sera pas la dernière.
En ce qui me concerne en tout cas.
( À suivre ....)
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