L'étrangeté de la nouvelle, que je viens de lire, commence déjà par son titre.
En effet, originalement intitulée « Muscles », en anglais, elle est traduite par « Bodybuiding » !?
Ensuite, Françoise Maillet ne trouve rien de mieux que caser le mot « bureau » en l'espace de cinq phrases consécutives.
Et un peu plus loin, le personnage principal lance d'une vois bourrue : « Je suis de DC Comics », la nouvelle en question évoquant une « Supergirl » ! Sans explication.
Pas sûr que tous les lecteur du Fiction de mars 1989 savaient que Supergirl© était un personnage de l'éditeur de bandes dessinées DC Comics. Il l'est encore, d'ailleurs. Et que son utilisation n'en est pas libre de droits.
Mais qu'en est-il de « Bodybuiding » de F. Paul Wilson ?
Histoire à chute, plus ou moins prévisible, la nouvelle vaut surtout par l'évocation d'un sale type, journaliste pour un tabloïd de faits divers spécialisé dans les phénomènes extraordinaires. Qui pour le coup va se retrouver dans la rubriques des faits d'enfer.
Mais avant cela il aura eu le temps de traîner dans le New York interlopes des alentours de Times Square.
Un environnement tout à fait raccord avec ce qu'on saura de lui, et de son funeste destin.
Si F. Paul Wilson, moins connu sûrement que l'adaptation cinématographique d'un de ses romans par Michael Mann, reste dans la zone de confort d'une épouvante domestiquée, son court récit se lit toutefois sans déplaisir.
Sans véritable passion non plus.
Il fait néanmoins un candidat idéal pour aller effrayer l'ami Yogo.
En effet, originalement intitulée « Muscles », en anglais, elle est traduite par « Bodybuiding » !?
Ensuite, Françoise Maillet ne trouve rien de mieux que caser le mot « bureau » en l'espace de cinq phrases consécutives.
Et un peu plus loin, le personnage principal lance d'une vois bourrue : « Je suis de DC Comics », la nouvelle en question évoquant une « Supergirl » ! Sans explication.
Pas sûr que tous les lecteur du Fiction de mars 1989 savaient que Supergirl© était un personnage de l'éditeur de bandes dessinées DC Comics. Il l'est encore, d'ailleurs. Et que son utilisation n'en est pas libre de droits.
Mais qu'en est-il de « Bodybuiding » de F. Paul Wilson ?
Histoire à chute, plus ou moins prévisible, la nouvelle vaut surtout par l'évocation d'un sale type, journaliste pour un tabloïd de faits divers spécialisé dans les phénomènes extraordinaires. Qui pour le coup va se retrouver dans la rubriques des faits d'enfer.
Mais avant cela il aura eu le temps de traîner dans le New York interlopes des alentours de Times Square.
Un environnement tout à fait raccord avec ce qu'on saura de lui, et de son funeste destin.
Si F. Paul Wilson, moins connu sûrement que l'adaptation cinématographique d'un de ses romans par Michael Mann, reste dans la zone de confort d'une épouvante domestiquée, son court récit se lit toutefois sans déplaisir.
Sans véritable passion non plus.
Il fait néanmoins un candidat idéal pour aller effrayer l'ami Yogo.
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