Toutes les histoires engendrent un « monde secondaire » id est un monde imaginaire.
Ce qui les distingue, ce qui permet de les classer, c’est notamment leur degré d’indépendance par rapport au monde du lecteur. Et ce qui les en distingue.
Aux antipodes de notre monde il y a bien sûr la Fantasy.
Autrement dit, toute une série de mondes secondaires où le surnaturel fait en quelque sorte la loi.Un genre très tôt devenu une galaxie de sous-genres, en quasi constante expansion.
« L’Empire du Léopard » ressortit à celui dit de la « Fantasy à mousquets ».
Un chrononyme certes assez vague, mais dont le niveau de technologie supposé permet d’en déduire, peu ou prou, la période qui correspond à notre propre chronologie historique. Entendu que cette nomenclature n’est pas un daguerréotype fixant en toute éternité le sujet qu’il veut définir. Il s'agit tout au plus d'ouvrir un horizon d'attentes.
Dans un exercice de « questions-réponses » [Pour en savoir +], Emmanuel Chastellière s’y décrivait plus comme un jardinier que comme un architecte, pour reprendre la définition mise au point par G.R.R. Martin. Ce n'est d'ailleurs pas leur seul point commun.
Car à l’instar de son célèbre aîné, Emmanuel Chastellière utilise l’irrationnel avec un sens de l’épargne qui ferait rougir la fourmi de la célèbre fable.
Et si on excepte un prologue dont l’utilité ne m’a pas été prouvé, pas question pour le jeune romancier de nous « choper par les couilles dès le premier chapitre » à la manière d’un James Ellroy.
L’intrigue de « L’Empire du Léopard » agit plutôt à la manière d’une eau qu’on chaufferait progressivement, jusqu’à ce que – sans qu’on s’en rendre compte - ses plus de 600 pages soient tournées.
Non sans un pénultième crochet d’epicness to the max.
En conclusion je peux dire que ce premier roman d'Emmanuel Chastellière, ne sera pas le dernier. D'autant que l'auteur est retourné dans cet univers prometteur, avec un récent roman intitulé : La Piste des cendres.
Une plutôt bonne nouvelle si vous voulez tout savoir !
Cette critique ne serait pas complète sans un paragraphe de remerciements.
En effet, je dois cette découverte à Dup & Phooka du site Bookenstock [Pour en savoir +], qui ont eu la gentillesse de m’intégrer à leur opération « Le mois de .... Emmanuel Chastellière ».
Et je remercie également les éditions Critic© qui ont eu l’amabilité de me faire parvenir gratuitement un exemplaire de« L’Empire du Léopard » dans le cadre de cette opération.
Ce qui les distingue, ce qui permet de les classer, c’est notamment leur degré d’indépendance par rapport au monde du lecteur. Et ce qui les en distingue.
Aux antipodes de notre monde il y a bien sûr la Fantasy.
Autrement dit, toute une série de mondes secondaires où le surnaturel fait en quelque sorte la loi.Un genre très tôt devenu une galaxie de sous-genres, en quasi constante expansion.
« L’Empire du Léopard » ressortit à celui dit de la « Fantasy à mousquets ».
Un chrononyme certes assez vague, mais dont le niveau de technologie supposé permet d’en déduire, peu ou prou, la période qui correspond à notre propre chronologie historique. Entendu que cette nomenclature n’est pas un daguerréotype fixant en toute éternité le sujet qu’il veut définir. Il s'agit tout au plus d'ouvrir un horizon d'attentes.
Dans un exercice de « questions-réponses » [Pour en savoir +], Emmanuel Chastellière s’y décrivait plus comme un jardinier que comme un architecte, pour reprendre la définition mise au point par G.R.R. Martin. Ce n'est d'ailleurs pas leur seul point commun.
Car à l’instar de son célèbre aîné, Emmanuel Chastellière utilise l’irrationnel avec un sens de l’épargne qui ferait rougir la fourmi de la célèbre fable.
Et si on excepte un prologue dont l’utilité ne m’a pas été prouvé, pas question pour le jeune romancier de nous « choper par les couilles dès le premier chapitre » à la manière d’un James Ellroy.
L’intrigue de « L’Empire du Léopard » agit plutôt à la manière d’une eau qu’on chaufferait progressivement, jusqu’à ce que – sans qu’on s’en rendre compte - ses plus de 600 pages soient tournées.
Non sans un pénultième crochet d’epicness to the max.
En conclusion je peux dire que ce premier roman d'Emmanuel Chastellière, ne sera pas le dernier. D'autant que l'auteur est retourné dans cet univers prometteur, avec un récent roman intitulé : La Piste des cendres.
Une plutôt bonne nouvelle si vous voulez tout savoir !
Cette critique ne serait pas complète sans un paragraphe de remerciements.
En effet, je dois cette découverte à Dup & Phooka du site Bookenstock [Pour en savoir +], qui ont eu la gentillesse de m’intégrer à leur opération « Le mois de .... Emmanuel Chastellière ».
Et je remercie également les éditions Critic© qui ont eu l’amabilité de me faire parvenir gratuitement un exemplaire de« L’Empire du Léopard » dans le cadre de cette opération.
Eh bien, merci pour votre retour !
RépondreSupprimerÇ'a été un plaisir de vous lire, et comme je le disais dans ma critique ; je risque de continuer.
SupprimerSanté & prospérité !
Merci beaucoup !
SupprimerOn en a besoin. ^^